Suite à une commande, j’ai réalisé deux dessins inspirés des dessins animés La Reine des Neiges (Frozen) de Disney et Les Cinq Légendes (Rise of the Guardians) de Dreamworks. L’un représente Elsa, la dite « reine des neiges » (son histoire serait inspirée du conte d’Andersen du même nom, mais… en dehors du titre, je cherche encore le rapport entre les deux histoires) et l’autre Jack Frost, personnage originellement tiré du folklore anglo-saxon, considéré comme une allégorie de l’hiver.
Le couple que l’on m’a demandé de représenter n’en est pas vraiment un car les deux personnages viennent de dessins animés différents. Mais depuis la sortie de la Reine des Neiges en 2013 (soit un an après la sortie des Cinq Légendes) les « fanarts » (néologisme formé des mots « fan » et « art », c’est-à-dire les créations imaginées par les fans à partir d’une oeuvre qu’ils admirent) ne cessent d’imaginer Elsa et Jack Frost réunis en une seule et même histoire.
Les deux personnages possédant tous deux des pouvoirs en lien avec la neige, la glace, le froid, rien de bien étonnant. D’autant plus que Disney et Dreamworks n’ont pas offert de « happy end » amoureux à ces deux personnages. Les fans s’en chargent donc à leur place. Sur le web, le couple a même son surnom : Jelsa, contraction de « Jack » et « Elsa ».
Bref, j’ai beaucoup travaillé, j’ai ajouté « ma patte » (je plaide coupable, les cheveux d’Elsa sont beaucoup plus longs que dans le dessin animé :D) et voici le résultat en quelques images :
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
Jack Frost (Work in progress)
La Reine des Neiges (Work in progress)
Jack Frost (Work in progress)
Jack Frost (Work in progress)
Elsa et Jack Frost (Work in progress)
Elsa et Jack Frost (Work in progress)
Elsa et Jack Frost (Work in progress)
Elsa et Jack Frost (Work in progress)
Frozen Love Acrylique sur papier Canson www.studinano.com
Mise-à-jour : J’ai réalisé un deuxième fanart mettant en scène Elsa et Jack Frost. Cette fois-ci, vous pouvez les admirer en train de danser.
Joyeux Halloween à tous !
Des bonbons ou un sort ! Trick or treat ! Et tout le patatra !
Voyez-vous, je n’ai jamais vraiment fêté Halloween. Mais je suis toujours amusée de voir les déguisements que certains peuvent arborer. Certains sont vraiment des professionnels ! Leurs costumes deviennent des oeuvres d’art, de body art plus exactement.
Il faut dire qu’avec la propagation du cosplayet des conventionsdiverses et variées qui vont avec (Comic Con, Japan Expo, etc.), l’art du costume ne cesse de se perfectionner.
Body Art: L’art corporel, en anglais body art, est un ensemble de pratiques artistiques effectuées sur et/ou avec le corps.
D’ailleurs, certains et certaines parviennent à faire parler d’eux grâce à leur talent pour le grimage ! Par exemple, Dope2111 qui, grâce à ses transformations postées régulièrement sur Youtube, fait de plus en plus parler d’elle.
Elle tente tout ! Y compris ce qui nous semble à première vue impossible. Par exemple ? Iron Man version Robert Downey Jr., Angelina Jolie, Adèle, les princesses Disney (Pocahontas, Mulan, Belle, Cendrillon, Esmeralda etc), mais aussi Harley Quinn, la célèbre copine du Joker, Edward aux mains d’argent, Sally, la copine de Jack Skellington dans L’Etrange Noël de Monsieur Jack de Tim Burton… etc, etc, etc.
Certaines de ses vidéos ont dépassé depuis longtemps le million de vues. Et c’est en partie grâce à sa transformation en Joconde de De Vinci que la demoiselle a commencé à faire parler d’elle dans les médias français.
Pour ma part, j’ai préféré faire dans la simplicité pour cet Halloween. Il faut dire que je n’ai pas le talent de dope2111 pour le maquillage… Alors j’ai dessiné o/. Je vous propose de découvrir, ci-dessous ma Sorcière et sa belle citrouille ;)
Comme toujours, cette Faceless Girl (c’est-à-dire un de mes personnages sans visage) spéciale est en vente sous la forme de t-shirts, pulls, sweats et divers accessoires (coques iPhones, iPod, iPad et Samsung Galaxy S, Kindle ou encore Nexus notamment) sur ma boutique Spreadshirt, ici : http://studinano.spreadshirt.fr/
Profitez d’ailleurs d’un code spécial aujourd’hui : SWEET2013 qui vous donnera droit aux frais de port gratuits en ce 31 octobre ;)
D’ailleurs, en parlant de princesse Disney, voici un petit aperçu des personnages de conte (et notamment inspirés des versions de Disney) que j’ai personnalisés en Faceless Girl. La série de dessins dont ils font partie s’intitule « Who is the Mad Hatter ? » (Qui est le Chapelier Fou ?) et tous ces personnages sont également disponibles à la vente (http://studinano.spreadshirt.fr/).
Voici une réinterprétation plutôt intéressante de différentes princesses de l’univers Disney réalisée par l’artiste Sashii-kami de DeviantArt (http://sashiiko-anti.deviantart.com).
Plongées dans le monde de la mode d’aujourd’hui, tout en conservant leur look originel, les princesses deviennent d’étranges pantins ultra-fins, des mannequins, dirions-nous plus facilement qui, à mon sens, en disent long sur les princesses que l’on montrera demain à nos petites filles.
Déjà les princesses Disney originelles étaient bourrées de stéréotypes: belles, gentilles, douces… juste assez intrépides pour partir à la recherche de leur Prince Charmant mais n’allons pas beaucoup plus loin. Dès les débuts du studio Disney, les princesses n’étaient déjà pas très épaisses : si Blanche Neige avait encore une silhouette à peu près humaine en 1937, la Belle au Bois Dormant est déjà beaucoup plus maigre en 1959… C’est surtout sa taille extrêmement fine qui choque. Et les nouvelles princesses (Merida du dessin animé Rebelle ou Elsa de la Reine des Neiges, par exemple) suivent clairement le même modèle.
La graphiste américaine Loryn Brantz s’est notamment « amusée » à redessiner la silhouette des véritables princesses Disney. Et, d’après elle, « la morphologie des princesses est nettement moins extrême, et pourtant elles sont tout aussi belles et magiques ».
La preuve en images :
Les poupées Barbie et les poupées aux looks (prétendument) gothiques Monster High suivent depuis un petit moment la pente dangereuse qui fait de la maigreur extrême un critère de beauté plus fort que tous les autres. Disons que les Barbie avaient au moins l’avantage d’avoir encore quelques formes… Aujourd’hui, le moindre atour féminin semble être supprimé au profit d’une silhouette filiforme, à la limite de l’androgénie.
Étrange évolution des poupées ; étrange évolution de la mode qui, il y a encore un siècle, faisait de la femme rondelette, voire clairement obèse, une référence absolue en matière de beauté fatale.
L’être humain et sa vision de la beauté est décidément bien extrémiste.