Poster réalisé dans le cadre du Mardi des Chercheurs à l’U-Mons (Belgique) : Steampunk en Hauts-de-France, réenchanter notre patrimoine industriel
Visuel pour le poster réalisé dans le cadre du Mardi des Chercheurs à l’U-Mons (Belgique) : Steampunk en Hauts-de-France, réenchanter notre patrimoine industriel. Evoque les industries qui ont longtemps fait vivre la région Hauts-de-France : la mine, la métallurgie/sidérurgie, le textile. Ainsi que notre passion pour les courses cyclistes !
Visuel pour le poster réalisé dans le cadre du Mardi des Chercheurs à l’U-Mons (Belgique) : Steampunk en Hauts-de-France, réenchanter notre patrimoine industriel
Visuel pour le poster réalisé dans le cadre du Mardi des Chercheurs à l’U-Mons (Belgique) : Steampunk en Hauts-de-France, réenchanter notre patrimoine industriel. Le Haut-de-France est un bateau volant de style Steampunk, inventé pour servir de mascotte à mon projet de recherche-création sur le Steampunk en Hauts-de-France.
« Tree Ring : le voyage temporel au bout des doigts, by Roots » Vraie-fausse affiche Steampunk inspirée du style d’Alfons Mucha.
Visuel pour la journée d’étude sur la Vallée de l’Escaut organisé à l’UPHF en 2019. Péniche Steampunk volante surnommée « Scaldis » (nom latin du fleuve Escaut). Elle est tirée dans les cieux par un cheval de halage formé de nuages.
Visuel pour la journée d’étude sur la Vallée de l’Escaut organisé à l’UPHF en 2019. Péniche Steampunk volante surnommée « Scaldis » (nom latin du fleuve Escaut). Elle est tirée dans les cieux par un cheval de halage formé de nuages.
Visuel pour la journée d’étude sur la Vallée de l’Escaut organisé à l’UPHF en 2019. Péniche Steampunk volante surnommée « Scaldis » (nom latin du fleuve Escaut). Elle est tirée dans les cieux par un cheval de halage formé de nuages.
Visuel pour la journée d’étude sur la Vallée de l’Escaut organisé à l’UPHF en 2019. Péniche Steampunk volante surnommée « Scaldis » (nom latin du fleuve Escaut). Elle est tirée dans les cieux par un cheval de halage formé de nuages.
Visuel pour la journée d’étude sur la Vallée de l’Escaut organisé à l’UPHF en 2019. Péniche Steampunk volante surnommée « Scaldis » (nom latin du fleuve Escaut). Elle est tirée dans les cieux par un cheval de halage formé de nuages.
Shoupignon, le chat-robot Steampunk. Projet de mascotte pour Studinano.
Montre Steampunk pour voyageur temporel romantique
Vous allez me dire, ok, mais c’est quoi ? Et pourquoi toi ? Pourquoi pas Loïc, mon petit neveu qui fait ses études a Lille ?
Et je vais rejoindre à vos interrogations, c’est parti !
Ambassadeur Hauts-de-France, kesako ?
En ce qui me concerne, je me suis inscrite sur le site Haut et Fort pour en faire la demande.
Ce qui m’a poussé à le faire, c’est le fait d’être nordiste, comme toute ma famille depuis x générations (arbre généalogique a l’appuie, je me moque pas de vous, hein !) et de me sentir très attachée à cette histoire familiale. Fière d’être Ch’ti quoi !
De plus, je suis artistedans la région et c’est important pour moi. La région a un très important patrimoine artistique et ce n’est pas rien de pouvoir s’y inscrire, même à son tout petit niveau.
Parallèlement à cela, mon travail de recherche en doctoratporte aussi sur les Hauts-de-France (voir ci-contre). Je travaille sur le Steampunk en Hauts-de-France et comment il me serait possible, en tant qu’artiste, de remettre en lumière et en valeur notre patrimoine industriel grâce à cela. Un peu à la manière des Machines de L’Île de Nantes.
Et puis, je ne rate jamais une occasion de mettre à l’honneur notre région sur Instagram ou ailleurs (y compris quand je discute avec des gens d’autres régions qui ont parfois de très gros a priori sur le Nord. Ou encore, qui pensent que les clichés sur la pauvreté, la consanguinité, l’alcoolisme… sont vrais, malheureusement).
Bref, j’aime ma région mais, surtout, j’ai des rêves, des espoirs, des idées pour elle, et je compte bien les réaliser tôt ou tard ! C’est pourquoi, je suis fière d’être une de ses ambassadrices !
Pourquoi devenir ambassadeur ?
Parce que…
J’aime les Hauts-de-France et que je veux révéler les talents de nos habitants, de nos entreprises et de nos territoires.
Je suis fier de mon territoire et que je veux le représenter en France & à l’international.
Je veux être acteur du changement et permettre à chaque habitant, entreprise et territoire de contribuer à l’attractivité locale et régionale.
Je veux développer ma visibilité, valoriser mon ancrage local, en améliorant notre rayonnement régional.
Je veux intégrer un réseau d’acteurs du territoire qui s’engagent pour faire grandir nos projets, saisir des opportunités et contribuer activement à notre développement.
Bref, devenir ambassadeur des Hauts-de-France, ça n’est pas qu’un badge sur un site web ou les réseaux sociaux ! Cela dit, je vous invite à aller jeter un coup d’œil au hashtag #HautEtFort sur Instagram, notamment. Vous pourrez y découvrir les belles photographies que nous sommes nombreux à prendre dans la région et toutes les créations qui y voient le jour !
Pour la deuxième année consécutive, j’ai décidé de participer à l’Inktober ! Pour ceux qui ne sauraient pas de quoi il s’agit, je vous avais fait un petit topo sur le sujet dans l’article qui présentait mes dessins, l’année dernière.
Comment s’est passé l’Inktober cette année ?
Cette année, j’ai décidé de prendre mon courage à deux mains et de passer du noir et blanc à la couleur. J’ai enfin ressorti mes aquarelleset mes pinceaux, ça m’a fait beaucoup de bien. Mais, évidemment, j’ai eu beaucoup plus de mal à tenir le rythme d’un dessin par jour pendant trente et un jours.
Au final, il me manque deux dessins et certains ne sont pas colorés (c’est voulu pour le 19ème mais pas pour les autres). Mais, bon, je suis quand même très fière de moi parce que ça représente un sacré progrèspar rapport à l’année dernière déjà. Et par rapport à mon état de santé et à ma confiance en moi et en mes capacités, surtout.
Je vous laisse découvrir mes dessins ci-dessous. Quant à ceux qui voudraient en savoir encore plus à leur sujet, sachez que j’ai détaillé mon travail au jour le jour sur Instagram. Vous y trouverez aussi des photographies de ces dessins en cours de réalisation, des anecdotes, leur petite histoireà chacun.
Mon Inktober 2018 :
Inktober 2018, Jour 1 : Poisonous
Inktober 2018, Jour 2 : Tranquil
Inktober 2018, Jour 3 : Roasted
Inktober 2018, Jour 4 : Spell
Inktober 2018, Jour 5 : Chicken
Inktober 2018, Jour 6 : Drooling
Inktober 2018, Jour 7 : Exhausted
Inktober 2018, Jour 8 : Star
Inktober 2018, Jour 9 : Precious
Inktober 2018, Jour 10 : Flowing
Inktober 2018, Jour 11 : Cruel
Inktober 2018, Jour 13 : Guarded
Inktober 2018, Jour 14 : Clock
Inktober 2018, Jour 15 : Weak
Inktober 2018, Jour 16 : Angular
Inktober 2018, Jour 17 : Swollen
Inktober 2018, Jour 18 : Bottle
Inktober 2018, Jour 18 : Bottle (détail)
Inktober 2018, Jour 19 : Scorched
Inktober 2018, Jour 20 : Breakable
Inktober 2018, Jour 21 : Drain
Inktober 2018, Jour 22 : Expensive
Inktober 2018, Jour 23 : Muddy
Inktober 2018, Jour 24 : Chop
Inktober 2018, Jour 25 : Prickly
Inktober 2018, Jour 26 : Stretch
Inktober 2018, Jour 27 : Thunder
Inktober 2018, Jour 28 : Gift
Inktober 2018, Jour 28 : Gift
Inktober 2018, Jour 29 : Double
Inktober 2018, Jour 31 : Slice
Ces dessins vous plaisent ? Pensez aux boutiques Studinano ! Vous y trouverez des reproductions de divers formats et sous différentes formes, des vêtements, des bijoux, des accessoires et des créations originales pour faire plaisir aux grands, aux petits, à toute la famille et pour toutes les occasions !
Cette année, pour la première fois, j’ai trouvé (pris ?) le temps de participer à l’Inktober! Pour ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux, ça n’est pas une grande nouvelle : vous le saviez déjà car j’ai posté régulièrement mes dessins sur Instagram, Twitter et Facebook. Pour les autres, voici mes 31 (un peu plus en fait ;D) dessins regroupés ici.
Inktober, c’est quoi ?
L’Inktober existe depuis 2009. C’est l’artiste américain Jake Parker qui l’a créé pour améliorer ses propres compétences de dessinateur, à la base. Et, de fil en aiguille, de plus en plus de gens ont décidé de participer.
L’Inktober n’est pas vraiment un concours. On ne gagne rien, on participe si on veut et on s’arrête si on le souhaite. On peut choisir de suivre les thèmes de l’année (disponibles sur la page officielle de l’Inktober ou sur les réseaux sociaux, et que je vous mets aussi ci-dessous) ou créer les siens si on veut travailler sur des thèmes particuliers, par exemple, ou augmenter la difficulté selon son niveau. On peut aussi choisir d’y aller en freestyle, selon l’inspirationdu jour.
Normalement, le but est de dessiner à l’encre(d’où le « ink » qui signifie « encre »). Mais ça n’est pas toujours évident. Maintenant, les artistes viennent avec leurs propres techniques et leurs propres envies et c’est encore plus fun, je trouve. Ça permet de découvrir d’excellents artistes d’horizons divers, qui travaillent soit de manière traditionnelle (crayons, feutres, encre, peinture…) soit sur ordinateur. Pour ma part, j’ai opté le plus souvent pour un bon vieux crayon gris (crayon de bois ? Crayon à papier ? J’ai vu que, comme pour le pain au chocolat, les gens commencent à se battre sur la bonne façon de dire : donc POUR MOI ce sera crayon gris et petit pain, bordel).